Mais les investisseurs VC sont des financiers. Ils aiment donc… les chiffres. Et pas le rêve
Votre problème est donc : comment parler dans la même langue pour les séduire ? 🤔
La solution est très simple : 𝗔𝘃𝗮𝗻𝘁 𝗱’𝗮𝗹𝗹𝗲𝗿 𝗽𝗶𝘁𝗰𝗵𝗲𝗿 𝘂𝗻 𝗶𝗻𝘃𝗲𝘀𝘁𝗶𝘀𝘀𝗲𝘂𝗿, 𝗶𝗹 𝘆 𝗮 𝟱 𝗰𝗵𝗶𝗳𝗳𝗿𝗲𝘀 𝗾𝘂𝗲 𝘃𝗼𝘂𝘀 𝗱𝗲𝘃𝗲𝘇 𝗰𝗼𝗻𝗻𝗮𝗶̂𝘁𝗿𝗲 𝗽𝗮𝗿 𝗰œ𝘂𝗿.
Pas “à peu près”. Pas “je vais demander à mon CFO”.
👉 Par cœur. Comme votre date de naissance.
Les voici :
Et nous vous précisons chaque KPI dans le carrousel : leur définition, leur mode de calcul et… pourquoi c’est important !
𝟭. 𝗔𝗥𝗥 / 𝗠𝗥𝗥
📊 Vos revenus récurrents mensuels ou annuels.
Si vous n’êtes pas capable d’expliquer comment ils évoluent (upsell, churn, nouvelles ventes), vous perdez la moitié de la crédibilité du pitch.
𝟮. 𝗧𝗮𝘂𝘅 𝗱𝗲 𝗰𝗿𝗼𝗶𝘀𝘀𝗮𝗻𝗰𝗲
🚀 (MRR du mois N – MRR du mois N-1) ÷ MRR du mois N-1.
L’investisseur veut voir que vous allez vite, pas doucement. C’est le UP à démontrer dans votre start-up.
𝟯. 𝗕𝘂𝗿𝗻 𝗿𝗮𝘁𝗲
🔥 Combien de cash vous consommez chaque mois.
C’est votre vitesse de consommation d’oxygène. Sans maîtrise, pas de confiance en votre avenir de la part du VC.
𝟰. 𝗖𝗔𝗖 (𝗖𝘂𝘀𝘁𝗼𝗺𝗲𝗿 𝗔𝗰𝗾𝘂𝗶𝘀𝗶𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗖𝗼𝘀𝘁)
💸 Vos dépenses marketing & sales ÷ nouveaux clients acquis.
Si vous ne savez pas combien coûte un client, l’investisseur se dit que votre croissance n’est pas pilotable.
𝟱. 𝗟𝗧𝗩 (𝗟𝗶𝗳𝗲𝘁𝗶𝗺𝗲 𝗩𝗮𝗹𝘂𝗲)
💎 Panier moyen × fréquence × durée de vie client.
C’est la valeur totale de chaque client. Le combo gagnant, c’est quand LTV ≥ 3 × CAC.
On rajoute évidemment… ton CA, ton horizon de break even, et ta capacité à exécuter (mais ça, ça ne se prouve pas pas KPI 😉)
👉 Conseil Aaticka : maîtriser ces 5 KPI, c’est prouver que vous connaissez votre moteur de croissance.
🎯 Pas besoin de jargon ou de storytelling forcé
📌 Pas de poudre aux yeux, pas de promesses creuses
Vos chiffres sont votre meilleur argument.
Vos KPI vos armes.
La seule question, c’est : les avez-vous assez en main et assez en tête pour les dégainer sans hésiter en plein pitch ?
